Kayla DeVault
Le 25 juillet 2013
L’histoire du théâtre
L’utilisation d’Inès Serrano dans la Pièce Huis Clos par Jean-Paul Sartre
La pièce du théâtre, Huis Clos, était publiée par Jean-Paul
Sartre en 1944, juste avant de la fin de la deuxième guerre mondiale. L’histoire est au sujet de trois personnes –
Garcin, Inès, et Estelle – qui sont trappés ensemble dans une salle en Enfer. Ils restent dans la salle et ne voient qu’un
garçon a la porte fermée. Après quelques
temps, c’est évident qu’Inès aime Estelle, Estelle aime Garcin, et Garcin
cherche pour leur foi de ses histoires et ses actions. Ils torturent leur-mêmes par leurs pensées et
leurs avis et chaque personne ne peut pas trouver un miroir pour voir soi-même
comme il veut. Sans miroirs et sans
sortie, ils découvrent éventuellement qu’ils sont leurs tortureurs, l’un l’autre.
Huis Clos est souvent analysé pour ses manifestes politiques à
cause de sa coïncidence et sa juxtaposition avec l’Occupation de la France par
l’Allemagne pendant la guerre. Sartre soi-même
était une partie de la résistance contre cet Occupation. L’écriture de cette époque et de la France
était souvent une proclamation artistique et un peu dangereuse contre le
gouvernement nouveau. Cependant, il y a des
autres parties scandaleuses dans Huis
Clos en addition à la comparaison de l’Occupation à l’Enfer : Sartre,
un hétérosexuel très connu, a souvent écrit des pièces avec des personnages
homosexuelles. En Huis Clos en particulaire, ce personnage est Inès Serrano.
La présence des
personnages homosexuels en écriture pendant cette époque est vraiment plus rare
et bizarre. Pendant la guerre en
particulier, il y avait beaucoup de haïr et peur autour du monde contre les
blacks, les juives, et les homosexuels.
En lisant Huis Clos et
réalisant l’utilisation d’un personnage homosexuel, on peut penser que Sartre
suggère que les homosexuels sont damnés à cause de leurs choix. Cependant, si on continue de lire le texte, on
trouve qu’Inès est damnée à cause d’une « affaire avec Florence »
(55), la femme d’un ami qui puis les a tué.
Elle suggère souvent pendant l’histoire qu’elle est une lesbienne avec
des petites phrases, comme quand elle dit « en chemise ou non, je n’aime
pas beaucoup les hommes » (34). Donc
des questions importantes restent pour demander : Pourquoi Sartre a choisi
une lesbien pour comprimer une des quatre personnages dans cette pièce et
comment elle effet l’histoire ?
La première observation
est la plus simple : l’existence d’un personnage homosexuelle vraiment
rend possible l’histoire. C’était
nécessaire de créer plus que deux personnages dans la salle pour ajouter la
torture et les effets plus dramatiques sur les esprits de l’un l’autre. On peut écrire une histoire avec deux hommes
et une femme, mais la présence d’un lesbien dans Huis Clos supprime plus tension entre les personnages et limite les
solutions possibles au problème romantique par les intérêts de chaque
personnage. Au contraire, quand il y a
deux hommes et une fille, la fille peut change ses préférences sans
réservation. Les personnages dans Huis Clos ont un choix seul : Inès
peut aimer Estelle et Estelle et Garcin peut aimer l’un l’autre, mais Garcin
refuse. C’est Inès qui a l’intelligence
pour découvrir que « le bourreau, c’est chacun de nous pour les deux
autres » (42). Cette observation
fait la distance entre les trois.
La deuxième observation
est un peu plus complexe : avoir une personnage lesbienne comme Inès
permit une contraste forte contre une personnage hétérosexuelle comme
Estelle. Estelle est très, très
féminine ; elle est un peu bête et complètement consumée par les miroirs
et son apparence. C’est la même
apparence et beauté qu’Inès adore.
Estelle refuse Inès, puis Garcin refuse Estelle comme il refuse la
compagnie des deux femmes.
La personnage d’Inès donc a cette niche entre les
autres : elle dote sur Estelle, conduit la femme de fuir a Garcin qui est
compliqué par sa couardise. Cette
couardise, la cause de son abandonnement de l’armée, est la même chose qu’Inès
se moque sans réserve. Elle a une
personnalité très forte, honnête, et direct.
Inès n’a pas peur de dire qu’ils sont « en enfer ! Damnés !
Damnés ! » (41), quelque chose qu’Estelle voudrait
oublier. Elle n’a pas honte de parler
des choses qui blesse la fierté de Garcin, mais elle protège Estelle avec les
mots doux et polîtes. Inès est très
directe, comme quand elle dit à Garcin « Ne me touchez pas. Je déteste qu’on me touche. Et gardez votre pitié. » (66) Parce qu’Inès est une lesbienne, elle peut
ignorer Garcin, être gentille avec Estelle, et donc conduire la torture mentale
entre les trois sans révocation de son personnage naturel.
Avoir un personnage
homosexuel dans Huis Clos est donc très
vitale pour la compréhension de l’histoire.
Inès est la factor qui conduit naturellement le conflit et la torture
mentale parmi les occupants dans la salle en Enfer. L’utilisation d’un personnage comme Inès est
encore rare pour l’époque, mais Huis Clos
soi-même est vraiment radicale pour une histoire écrit pendant l’Occupation
allemande de la France. Sans Inès, on ne
peut pas vraiment sens l’effet de l’Enfer français de l’époque.
Sartre, Jean-Paul. Huis Clos. Editions Gallimard, 1947.
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