Huis Clos est une pièce de Jean-Paul
Sartre. Sartre a écrit sur
l’existentialisme dans les années 1940.
Dans cette pièce, les trois personnages principaux sont Garcin, Inès, et
Estelle. Chaque personnage a fait
quelque chose de terrible, et donc ils sont emprisonnés ensemble dans un
enfer. Pour cette rédaction, je vais analyser
l’extrait des pages 39 à 42, de la scène 5.
À la fin de la pièce, Garcin dit, «L’enfer, c’est les Autres.» (p. 93)
Les trois personnages servent de bourreau pour chacun des autres. Sartre explore l’idée de la damnation
éternelle. Les personnages ne peuvent
pas s’échapper. Ils parlent de leurs
vies et leurs actions impardonnables.
Ils jugent les autres, et le jugement est similaire à de la torture.
Pour exprimer cette torture, Sartre emploi une vocabulaire spécifique, un ton
sarcastique, un rythme particulier du dialogue, des indications scéniques du
mouvement, et un thème de jugement.
Sartre choisit des mots spécifiques
pour décrire les sentiments. Certains
mots suggèrent des choses particulières sur les personnages. Le choix du mot «ruisseau» est intéressant
parce que la femme de Garcin est considérée comme pauvre. (p. 40) Elle a de la chance parce que Garcin l’a
aidée. Garcin se croit un héros, et il
est une bonne personne. Il est
bienveillant et généreux. Garcin est
trop orgueilleux. Cependant, nous ne
savons pas la vraie histoire. Garcin
prétend sauver sa femme, mais cela peut ne pas être vrai. Le choix du mot «assassins» est un peu
bizarre aussi parce qu’assassins suggère que les personnages sont des tueurs
professionnels. Mais il semble que les
crimes sont au hasard. Inès suggère
qu’ils savaient ce qu’ils faisaient. Ce
mot suggère la culpabilité. Estelle dit
«me reprocher d’avoir sacrifié ma jeunesse à un vieillard.» (p. 39)
Le mot «sacrifié» suggère qu’elle est un martyr. Estelle veut que les autres aient pitié
d’elle. Inès dit aussi «Bête comme
chou!» (p. 41) Le mot «chou» signifie que les personnages
sont contrôlés par l’enfer. Garcin,
Inès, et Estelle sont contrôlés par l’enfer comme un chou est contrôlé par
quelqu’un. Ils ne peuvent pas contrôler
leurs actions ou leurs futurs. L’enfer
était prévu par une puissance plus élevée, et ils ne le contrôlent pas.
Le ton des personnages montre
l’opinion de Sartre. Sartre emploi le
ton pour exprimer ses pensées. Estelle raconte
son histoire lorsque Garcin et Inès ne disent pas qu’elle a tord. Elle est pardonnée parce que à ses avis, elle
est une femme faible. Inès emploi un ton
ironique. Elle dit que Garcin est un
héros, mais elle est sarcastique. Elle
pense que Garcin est coupable. Elle
pense aussi qu’il mérite d’être en enfer.
Cependant, Estelle dit que ce n’est pas de sa faute. Estelle n’est pas honnête. Mais, elle a de la sympathie pour
Garcin. Aussi, Inès dit «Damnée, la
petite sainte.» (p. 41) Cela est sarcastique. Elle insulte Estelle. Inès dit «Nous sommes entre nous.» (p. 40)
Inès pense qu’ils doivent être honnêtes parce que les autres ne sont pas
là. Ils n’ont pas la responsabilité du
monde extérieur. Ils ne doivent pas
censurer leurs actions.
La longueur des lignes donne un
rythme à la pièce. Garcin, Estelle, et
Inès ont des monologues. Mais aussi il y
a des lignes courtes de dialogue. Le
dialogue intermittent montre que les personnages sont vexés. Ils s’interrompent les autres fréquemment. Ils essaient de se faire entendre. Ils tentent d’expliquer qu’ils sont des
bonnes personnes. Estelle pense qu’il y
a une erreur. Elle pense qu’elle ne
devrait pas être en enfer. Les lignes
courtes interrompent les monologues longs.
Les monologues longs permettent aux personnages d’exprimer leurs vrais
sentiments. Sartre emploie la répétition
pour souligner les idées. Estelle dit
«Vous voyez! Vous voyez!» et Inès dit «Damnés! Damnés!» (p. 40-41) Les femmes
sont émotionnelles et répète les mots pour montrer l’importance. Estelle et Inès sont vexées.
Sartre emploi quelques indication
scéniques. Ces indications font que la
pièce est plus intéressante visuellement pour les spectateurs. Elles nous donnent aussi certains indices sur
les personnages. Il dit qu’Estelle «lui
pose la main sur le bras.» (p. 40) Cette phrase montre qu’elle aime Garcin et
qu’elle veut être près de lui. Elle veut
le séduire. Sartre écrit que Garcin «la
main levée.» (p. 41) Il montre qu’il est sérieux. Il veut le silence total. Garcin a peur de l’enfer.
Un thème de la pièce est que le jugement
des autres est pire que la torture.
Garcin, Inès, et Estelle ont peur à cause des opinions des autres. L’enfer
des autres est pire que l’enfer.
Les jugements sont pires que le bourreau. Ils veulent échapper à l’enfer et aux
jugements des autres. Ils ne peuvent pas
sortir. Garcin et Estelle ne prennent
pas la responsabilité pour leurs actions.
Inès est la seule personne qui dit la vérité et prend la responsabilité.
À la fin de la pièce, Garcin dit
«l’enfer, c’est les Autres.» (p.
93) Garcin réalise que l’enfer n’est pas
«le soufre, le bûcher, le gril.» (p.
93) La torture c’est une
«plaisanterie.» Garcin voit la grande
blague cosmique. Cet enfer est prévu
totalement. L’enfer est quelque chose
qui fâche les personnages. Ce sont des
personnes très vaniteuses, qui apprécient les opinions des autres. Donc, quand ils doivent raconter leurs
histoires aux autres, leurs réponses ressemblent à de la torture. Estelle et les autres cherchent un miroir
parce qu’ils ne veulent pas regarder les autres. Garcin pense que son sort est le jugement des
autres.
En conclusion, le thème de l’enfer
chez Sartre est montré par des techniques littéraires de la pièce. Sartre emploie certains mots pour exprimer
les sentiments des personnages. Le ton
des personnages montre ses caractéristiques.
La longueur des lignes donne un rythme à la pièce. Les indications scéniques de mouvement font
que la pièce est intéressante visuellement pour les spectateurs. Le thème de la pièce souligne les idées principales
de Sartre. Sartre choisit d’employer
«l’enfer, c’est les Autres» à la fin de la pièce pour avoir un effet plus
fort.
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